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J'aurai ta peau

 

J'aurai ta peau

Ce travail n’est pas seulement un travail sur le minimalisme ou le graphisme. Il est également une réflexion, à la manière des vanités du 17ème siècle, sur la transition entre la vie et la mort et son inscription dans le temps.

 

J’ai souhaité, ici, redonner un souffle de vie à ces êtres décharnés, en recherchant un angle de prise de vue et une profondeur de champ adaptés. 

 

Parce que l’on pourrait d’emblée aller dans le sens de Roland Barthes : 

« La fascination de la photographie est le : cela a été.

La photo est quelque chose où la mort à son mot à dire. Elle est le seul événement, tout le reste est discussion, langage etc.»

 

Posons-nous au préalable, cette question : 

La photo ne servirait-elle pas finalement à pérenniser la vivacité de la mémoire au delà de son extinction naturelle?

 

Plutôt que pour son côté macabre, j’ai le plaisir de vous présenter cette série, pour focaliser le regard sur la vie.

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